Candide

« Après Le rêveur dans son bain, Hugo Bélanger récidive avec une adaptation éclatée qui repousse les limites de l’imaginaire. Chacune de ses mises en scène est une boîte à malice où son génie créatif pétille comme un feu d’artifice. »

(Eklectikmedia)

« Voltaire aurait sûrement apprécié cette lecture originale de son roman. Il aurait salué qu'on en conserve l'esprit satirique face à la plus grande guerre que connaissait l'Europe à cette époque.

Mais il aurait été, en revanche, effaré de constater que la perspicacité de sa fable soit encore si pertinente trois siècles plus tard...» (Revue JEU)

« Hier soir au Théâtre Denise-Pelletier, Candide s'imposa comme une adaptation inventive, cocasse et rafraîchissante de l'œuvre la plus célèbre de Voltaire (...) J'ai rarement vu sur scène un voyage philosophique et créatif aussi revigorant et plein de vie ! » (les artsze)

« La mise en scène d'Hugo Bélanger est un véritable terrain de jeu. (...) tu passes d'un style à un autre avec fluidité, comme si le spectacle te tenait par la main pour te dire :

« Regarde comme le théâtre peut être vivant, libre et éclaté ».

Si tu veux un spectacle qui te transporte ailleurs sans te perdre, qui célèbre le cœur humain même quand il s'entête à espérer, va voir Candide. Tu vas en sortir avec le sourire... et peut-être même avec une petite envie de refaire le monde. » (MEVEETCIE.CA)

« Un classique revisité avec intelligence

(...) Une pièce qui rappelle qu'au milieu des absurdités du monde, l'émerveillement demeure peut-être notre meilleur refuge. »

(Le Cahier)

« il faut souligner l’ingéniosité d’Hugo Bélanger (…) Il y a d’ailleurs quelques belles trouvailles dans sa mise en scène très commedia dell’arte, (…) Autre mention, celle-là destinée aux concepteurs : le travail de Jessica Poirier-Chang aux costumes, (…) Ainsi que les éclairages chatoyants de Leticia Hamaoui. » (LA PRESSE)

« Si l’aspect visuel de la production présente amplement matière à charmer le public, la distribution de huit interprètes — où brille particulièrement le vétéran Carl Béchard dans la peau du grandiloquent philosophe Pangloss — déploie une énergie et une conviction sans faille. » (LE DEVOIR)